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1 août 2014

L'AUTHENTIQUE

Il était une fois dans le sud-ouest........!

 

1ER AOÜT 2014

 

Journée  intense  d'émotion pour Jéjé :

tu largues les amarres et tu démarres enfin l'aventure avec l'AUTHENTIQUE.

Aujourd'hui un peu à l'arrachée "pot" avec les personnes qui ont participé aux travaux  de construction et d'aménagement. Dans quelques jours ouverture officielle du bar au public et pour le restau ce sera un peu plus tard.

 

Alors comme à un marin qui  s'élance vers le large, je te dis :

COURAGE ET BON VENT  !

 

 

 

 

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5 juillet 2014

les courgettes

voici l'état de mes courgettes une semaine après l'orage de grêle... elles sont encore récupérables...quant à la salade un peu déchiquetée la pauvrette...!

 

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 mais contre les intempéries on ne peut rien.

28 juin 2014

chaleur et orages

Dans mon sud-ouest alerte aux orages avec risques de grêle. Pour qui vont-ils être ces maudits orages....? Je ne vis pas comme les agriculteurs, les maraîchers des revenus de la terre, .... Mais j'ai du mal à imaginer que toutes ces heures qu'on donne à nos plantes peuvent être anéanties en quelques minutes, alors je me suis fais plaisir en photographiant quelques unes de mes fleurs et le jardin potager de z'hom . Que restera-t-il demain ? avec un peu de change tout je l'espère, à voir...

Quelques unes de mes fleurs : gérniums, pélargoniums, bégonias, diplodanias, agrumes....

 

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et puis le petit potager avec tomates, courgettes, haricots verts, salades, melons

 

 

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 l'abricotier avec ses fruits qui commencent à virer à l'orange et le prunier avec des branches pleines de fruits, à craquer

 

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1 juin 2014

les genets

Ce jour, promenade au bord d'un lac près de chez moi,   qui m'a permis de faire  un beau bouquet de genêt subtilement parfumé.

 

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Je me permets de mettre en ligne ce très beau poème de François Fabié ( né au Moulin de Roupeyrac à Durenque (Aveyron) le 3 novembre 1846 et mort le 18 juillet 1928 à La Valette-du-Var (Var) ; F. Fabiéest un poète régionaliste français. Le Moulin de Roupeyrac, sa maison natale, est aujourd'hui un musée consacré à sa vie et à son œuvre.

 

Les genêts

Les genêts, doucement balancés par la brise, 
Sur les vastes plateaux font une boule d'or ; 
Et tandis que le pâtre à leur ombre s'endort, 
Son troupeau va broutant cette fleur qui le grise ;

Cette fleur qui le fait rêver d'amour, le soir, 
Quand il roule du haut des monts vers les étables, 
Et qu'il croise en chemin les grands boeufs vénérables 
Dont les doux beuglements appellent l'abreuvoir ;

cette fleur toute d'or, de lumière et de soie,
En papillons posée au bout des brins menus,
Et dont les lourds parfums semblent être venus
De la plage lointaine où le soleil se noie...

Certes, j'aime les prés où chantent les grillons, 
Et la vigne pendue aux flancs de la colline, 
Et les champs de bleuets sur qui le blé s'incline, 
Comme sur des yeux bleus tombent des cheveux blonds.

Mais je préfère aux prés fleuris, aux grasses plaines, 
Aux coteaux où la vigne étend ses pampres verts, 
Les sauvages sommets de genêts recouverts, 
Qui font au vent d'été de si fauves haleines.

*
* *

Vous en souvenez-vous, genêts de mon pays, 
Des petits écoliers aux cheveux en broussailles 
Qui s'enfonçaient sous vos rameaux comme des cailles, 
Troublant dans leur sommeil les lapins ébahis ?

Comme l'herbe était fraîche à l'abri de vos tiges !
Comme on s'y trouvait bien, sur le dos allongé,
Dans le thym qui faisait, aux sauges mélangé,
Un parfum enivrant à donner des vertiges !

Et quelle émotion lorsqu'un léger froufrou 
Annonçait la fauvette apportant la pâture, 
Et qu'en bien l'épiant on trouvait d'aventure 
Son nid plein d'oiseaux nus et qui tendaient le cou !

Quel bonheur, quand le givre avait garni de perles 
Vos fins rameaux émus qui sifflaient dans le vent,
- Précoces braconniers, - de revenir souvent 
Tendre en vos corridors des lacets pour les merles.

*
* *

Mais il fallut quitter les genêts et les monts, 
S'en aller au collège étudier des livres, 
Et sentir, loin de l'air natal qui vous rend ivres, 
S'engourdir ses jarrets et siffler ses poumons ;

Passer de longs hivers dans des salles bien closes, 
A regarder la neige à travers les carreaux,
Éternuant dans des auteurs petits et gros, 
Et soupirant après les oiseaux et les roses ;

Et, l'été, se haussant sur son banc d'écolier, 
Comme un forçat qui, tout en ramant, tend sa chaîne, 
Pour sentir si le vent de la lande prochaine 
Ne vous apporte pas le parfum familier.

*
* *

Enfin, la grille s'ouvre ! on retourne au village ;
Ainsi que les genêts notre âme est tout en fleurs, 
Et dans les houx remplis de vieux merles siffleurs, 
On sent un air plus pur qui vous souffle au visage.

On retrouve l'enfant blonde avec qui cent fois 
On a jadis couru la forêt et la lande ; 
Elle n'a point changé, - sinon qu'elle est plus grande, 
Que ses yeux sont plus doux et plus douce sa voix.

" Revenons aux genêts ! - Je le veux bien ? " dit-elle. 
Et l'on va côte à côte, en causant, tout troublés 
Par le souffle inconnu qui passe sur les blés, 
Par le chant d'une source ou par le bruit d'une aile.

Les genêts ont grandi, mais pourtant moins que nous ; 
Il faut nous bien baisser pour passer sous leurs branches, 
Encore accroche-t-elle un peu ses coiffes blanches ; 
Quant à moi, je me mets simplement à genoux.

Et nous parlons des temps lointains, des courses folles, 
Des nids ravis ensemble, et de ces riens charmants 
Qui paraissent toujours si beaux aux coeurs aimants 
Parce que les regards soulignent les paroles.

Puis le silence ; puis la rougeur des aveux, 
Et le sein qui palpite, et la main qui tressaille,
Au loin un tendre appel de ramier ou de caille... 
Comme le serpolet sent bon dans les cheveux !

Et les fleurs des genêts nous font un diadème ;
Et, par l'écartement des branches, haut dans l'air.
Paraît comme un point noir l'alouette au chant clair
Qui, de l'azur, bénit le coin d'ombre où l'on aime !...

Ah ! de ces jours lointains, si lointains et si doux, 
De ces jours dont un seul vaut une vie entière,
- Et de la blonde enfant qui dort au cimetière, -
Genêts de mon pays, vous en souvenez-vous ?

 Les genêts, doucement balancés par la brise,
Sur les vastes plateaux font une houle d’or ;
Et, tandis que le pâtre à leur ombre s’endort,
Son troupeau va broutant cette fleur qui le grise ;

Cette fleur qui le fait bêler d’amour, le soir,
Quand il roule des hauts des monts vers les étables,
Et qu’il croise en chemin les grands bœufs vénérables
Dont les doux beuglements appellent l’abreuvoir ;

Cette fleur toute d’or, de lumière et de soie,
En papillons posée au bout des brins menus,
Et dont les lourds parfums semblent être venus
De la plage lointaine où le soleil se noie....

Certes, j’aime les prés où chantent les grillons,
Et la vigne pendue aux flancs de la colline,
Et les champs de bleuets sur qui le blé s’incline,
Comme sur des yeux bleus tombent des cheveux blonds.

Mais je préfère aux prés fleuris, aux grasses plaines,
Aux coteaux où la vigne étend ses pampres verts,
Les sauvages sommets, de genêts recouverts,
Qui font au vent d’été de si fauves haleines.

Vous en souvenez-vous, genêts de mon pays,
Des petits écoliers aux cheveux en broussailles
Qui s’enfonçaient sous vos rameaux comme des cailles,
Troublant dans leur sommeil les lapins ébahis ?

Comme l’herbe était fraîche à l’abri de vos tiges !
Comme on s’y trouvait bien, sur le dos allongé,
Dans le thym qui faisait, aux sauges mélangé,
Un parfum enivrant à donner des vertiges !

Et quelle émotion lorsqu’un léger frou-frou
Annonçait la fauvette apportant la pâture,
Et qu’en bien l’épiant on trouvait d’aventure
Son nid plein d’oiseaux nus et qui tendaient le cou !

Quel bonheur, quand le givre avait garni de perles
Vos fins rameaux émus qui sifflaient dans le vent,
— Précoces braconniers, — de revenir souvent,
Tendre en vos corridors des lacets pour les merles !

Mais il fallait quitter les genêts et les monts,
S’en aller au collège étudier des livres,
Et sentir, loin de l’air natal qui vous rend ivres,
S’engourdir ses jarrets et siffler ses poumons ;

Passer de longs hivers, dans des salles bien closes,
À regarder la neige à travers les carreaux,
Éternuant dans des auteurs petits et gros,
Et soupirant après les oiseaux et les roses ;

Et, l’été, se haussant sur son banc d’écolier,
Comme un forçat qui, tout en ramant, tend sa chaîne,
Pour sentir si le vent de la lande prochaine
Ne vous apporte pas le parfum familier....

Enfin, la grille s’ouvre ! On retourne au village ;
Ainsi que les genêts, notre âme est tout en fleurs,
Et dans les houx remplis de vieux merles siffleurs
On sent un air plus pur qui vous souffle au visage.

On retrouve l’enfant blonde avec qui cent fois
On a jadis couru la forêt et la lande ;
Elle n’a point changé, — sinon, qu’elle est plus grande,
Que ses yeux sont plus doux et plus douce sa voix.

— « Revenons aux genêts ! — Je le veux bien ! » dit-elle.
Et l’on va, côte à côte, en causant, tout troublés
Par le souffle inconnu qui passe sur les blés,
Par le chant d’une source, ou par le bruit d’une aile.

Les genêts ont grandi, mais pourtant moins que nous :
Il faut nous bien baisser pour passer sous leurs branches,
Encore accroche-t-elle un peu ses coiffes blanches ;
Quant à moi, je me mets simplement à genoux.

Et nous parlons des temps lointains, des courses folles,
Des nids ravis ensemble, et de ces riens charmants
Qui paraissent toujours sublimes aux amants,
Parce que leurs regards soulignent leurs paroles.

Puis, le silence ; puis, la rougeur des aveux,
Et le sein qui palpite, et la main qui tressaille,
Et le bras amoureux qui fait ployer la taille...
Comme le serpolet sent bon dans les cheveux !

Et les fleurs des genêts nous font un diadème ;
Et, par l’écartement des branches, — haut dans l’air, —
Paraît comme un point noir l’alouette au chant clair
Qui, de l’azur, bénit le coin d’ombre où l’on aime !

Ah ! de ces jours lointains, — si lointains et si doux ! —
De ces jours dont un seul vaut une vie entière,
— Et de la blonde enfant qui dort au cimetière,
Genêts de mon pays, vous en souvenez-vous ?

 

 

 

1 mai 2014

premier mai

Muguet porte bonheur

 

A toutes les personnes qui passeront sur mon  blog aujourd'hui,  je souhaite  un excellent 1er mai.

 

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Le muguet est le symbole du printemps et du renouveau.

Ce n'est pas une surprise mais comme de nombreuses fleurs, le muguet fleurit au printemps aux alentours du 1er mai. Originaire du Japon, le muguet serait arrivé en France au Moyen-âge. Cette plante, appelée aussi « lys des vallées », symbolise le printemps  et elle est réputée pour être un porte-bonheur. D’ailleurs, plus il y a de clochettes sur le brin de muguet, plus la chance sourit à son bénéficiaire. Les plus superstitieux diront même que seuls les brins de muguet qui possèdent treize fleurs portent véritablement bonheur !

 

 

 

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1 avril 2014

les "bichettes"

Tous les jours elles sortent du bois pour manger dans la prairie.

C'est un  plaisir  renouvelé de les voir au petit matin ou en fin d'après midi. Et quelle agilité...! Mais, toujours aux aguets pour fuir au moindre bruit suspect.

Je ne connais pas leur nom exact.

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Et dire qu'elles finiront peut être en bon civet dans l'assiette d'un chasseur.

 Double cliquer sur la photo pour mieux les voir.

 

 

7 mars 2014

les oiseaux migrateurs

cette fin d'après midi, alors que j'étais assise sur la terrasse  avec ma fille , un bruit étrange qui venait de...? ma fille lève la tête (nous les avions juste au dessus de nous)  et dans le ciel, bien en V, un vol d'oiseaux migrateurs : des oies ou des canards ? 

Trop beau, ils avaient mis le GPS vers le nord, c'est à dire l'Aveyron pour moi.... Le temps de récupérer mon appareil photo, de changer  l'objectif, de ressortir, ils avaient déjà fait un bout de chemin, et sur ma photo  il dessinent seulement  un trait, dommage j'ai pas pu faire mieux.  Où sont-ils à l'heure ou j'écris ce message ? Nous annoncent-ils le "vrai printemps" ?

Comme vous pourrez le constater nous avions un beau ciel bleu  aujourd'hui.

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Pour les personnes qui me lisent, j'habite dans les environs d'Albi dans le Tarn. En cliquant sur la photo vous pourrez les voir un peu mieux.

 

 

 

21 janvier 2014

canards confits dans la tradition

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Aujourd'hui  journée spéciale :  debout bien avant l'aube car le travail ne manque pas.  Je commence  à préparer les cous de canards, un travail un peu fastidieux  pendant que  z'hom fini de découper et de hacher la viande de porc et  canard  qui servira ensuite pour garnir les cous. Z'hom avait découpé les carcasses hier.

 

 

 

Voici  les gésiers prêts à cuire : (et je pense déjà  à la bonne salade gersoise).

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Comme au bon vieux temps, (nous avons essayé de respecter la tradition) cuisson  au feu de bois dans le chaudron en cuivre, le GOUT EST INCOMPARABLE .  C'est z'hom qui  prépare  et fait cuire ou confire les cuisses, les ailes, tous les os des carcasses, les os du cou,   les gésiers,  pour ce qui est de la durée de la cuisson   c'est un peu au "pif" : il faut que la chair soit bien tendre lorsqu'on pique la fourchette,  compter tout de même  deux heures environ de cuisson

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 Les confits sont cuits : une  cuisse  de canard confite et une aile confite  , de quoi agrémenter   lentilles, haricots blancs, ou bien tout simplement avec une salade

 

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Quant aux magrets, ils sont  prêts à être conditionnés pour un petit tour au congélateur, vraiment très gros ces magrets, pas question de compter un demi-magret par personne,( les canards étaient de belles pièces jusqu'à 6 kilos pour un)

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Et maintenant voici comment je procède pour faire mes cous de canards farcis confits.

Dépouiller le cou, en faisant glisser la peau sans l'inciser. (Ne pas oublier d'enlever la trachée et l'oesophage)  Je ferme la petite extrémité de la peau du cou avec une pique c'est plus rapide (la peau du cou a la forme d'un entonnoir)  Les os du cou (vertèbres) sont confits .

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Pendant ce temps, Z'hom prépare la farce : mélange de chair à saucisse, de magrets de canard coupés en petits cubes,  de foie gras coupés en petits cubes (certaines années j'avais ajouté un petit peu de veau haché). Sel, poivre. Environ 1/4 de foie gras pour 3/4  de viande hachée.

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Garnir les cous de cette farce  aux 2/3 seulement  pour éviter qu'ils n'éclatent à la cuisson.

Coudre l'autre extrémité (je ne suis pas une grande couturière, ou un bon chirurgien mdr..)

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Plonger les cous farcis  dans la graisse chaude et les faires cuire environ  1 heure 30  à petits bouillons. Au début de la cuisson je les pique à l'aide d'une aiguille  pour éviter qu'ils n'éclatent.

 

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Pour la cuisson, nous avons procéder en deux temps : une première cuisson dans le chaudron  pour les cuisses, les ailes les carcasses en fait  les morceaux où il y a des os, et dans un deuxième temps cuisson des cous farcis uniquement car la peau  est fragile et pourrait se déchirer au contact des os.  Pas de cou déchiré ou percé pour nous ce jour. Ma mère et ma grand mère cuisait tout en même temps.

Tout est  terminé et OUF (journée bien remplie). Maintenant  bonne douche pour enlever l'odeur du feu de bois  et nous allons attendre tous nos gourmands  pour entâmer  la dégustation ( à l'occasion vous verrez mes tranches de cou farci dans une de mes futures recettes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

20 janvier 2014

Samatan

Profitant de mon temps libre, et pour découvrir  cette spécificité  du sud ouest, un aller-retour à Samatan dans le Gers. Et devinez pourquoi ?  Pour parfaire notre régime ....mdr ..., 

En effet  nous sommes allés au Marché au Gras  (canards gras, oies, foie gras) ; début des hostilités à 9 h 30 avec vente des carcasses, et puis à 10 h 30 vente des foies gras,  j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup d'acheteurs qui bravaient le vent glacial avant l'ouverture des portes. J'ai été surprise par la rapidité  des transactions.

Nous avons profité d'un petit peu d'avance sur l'horaire pour faire un petit tour au  marché à la volaille  avec ses  poules,  coqs,  pigeons,  cailles,  canards vivants, oies vivantes, ainsi que des produits du terroir : légumes, gâteaux, confitures...

Maintenant affutons les couteaux et au travail !  la plus grosse journée sera pour demain, car "z'hom" a commencé la découpe cet après midi mais il reste encore beaucoup de choses à faire ; la suite ce sera pour demain  car il va falloir  tout préparer, cuire, conditionner : magrets,  cuisses de canards confites,  cous de canards farcis (trop trop bons), gésiers confits qui accompagneront quelques belles salades gersoises  ou landaises  ...

9 janvier 2014

les violettes

8 janvier : fini l'hiver, mais non,  il ne fait que commencer.  Cependant depuis quelques jours, à Albi,  des températures bien douces pour la saison (15° ce jour à 14 heures ) Et  de ce fait les premières violettes commencent à fleurir dans le jardin . Un petit air de printemps me direz -vous... c'est très agréable,  peut être éphémère,  alors profitons-en.

 

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Même la petite paquerette   ose montrer le bout de sa corolle....

28 novembre 2013

l'activité d'une jeune retraitée

Pas de cuisine aujourd'hui, j'ai profité d'une  journée ensoleillée, certes  frisquette, 3° seulement au thermomètre à  l'heure où j'écris ce message, pour faire une sortie en compagnie  de ma  jolie CORA autour d'un petit lac à quelques kilomètres de chez moi. L'air était vivifiant.

CORA toute fo-folle en début de promenade semblait me dire : "alors, mamie  tu avances..."

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des canards nagent à la limite eau - glaceIMGP5113

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CORA épuisée.....  elle  a un petit peu perdu l'habitude de marcher, mais il va falloir s'y remettre ma belle...mamie est à la retraite.... Pourtant  Madame est avantagée :  elle est  quand même  bien protégée  du froid par son épais manteau de fourrure

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17 novembre 2013

mado la niçoise

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Première sortie en tant que retraitée.... avec ce vendredi un concert de mado la niçoise à Albi, pour se détendre et surtout rigoler un bon coup. Pas déçu, vraiment une "pêche d'enfer" cette mado....

 

 

 

 

26 septembre 2013

quelques fleurs "en souvenir"

Voici  quelques unes des fleurs qui agrémentaient  l'extérieur d'un restau albigeois,  ouvert uniquement l'été, où fiston donnait de son mieux plus de 12 heures par jour  (il était loin des 35 heures), établissement  qui est   fermé depuis une quinzaine de jours (période estivale terminée). Le jardinier est en fait "zhom". Cette année pas de gros orage sur Albi, donc les fleurs sont restées belles jusqu'à l'arrière saison.

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3 septembre 2013

Les jardins des martels

Ce jour, pas de recette, mais une petite visite dans ce Parc floral et mini ferme situé à Giroussens dans le Tarn, à mi-chemin entre Albi et Toulouse. 

Les coordonnées : tél  05 63 41 61 42  contact @jardinsdes martels.com.

Petite balade bien agréable au milieu de massifs de fleurs, de plans d'eau, de cascades, d'animaux... Cette visite est un moment privilégié pour oublier un laps de temps les soucis du quotidien. Beaucoup de fraîcheur sous les grands arbres dans une ambiance plutôt zen.

le jardin des martels 1 septembre 2013 2

le jardin des martels 1 septembre 2013 7

z'avez vu la p'tite grenouille....le jardin des martels 1 septembre 2013 8

le jardin des martels 1 septembre 2013 9

 

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28 mai 2013

le calendrier de la météo à travers les proverbes (tirés du livre les mystères du tarn)

Pour le mois de mai  ( 5 proverbes) ; je vous laisse méditer sur ces vieux proverbes 


La plesto d'al mès dé maï engraïsso lous ases

(La pluie du mois de mai engraisse les ânes)

 

Lou sourel de la Sant-Tserménou nous promet un boun binou

( Le soleil de la Sainte -Germaine nous promet un bon petit vin)

 

La Santo-Pétronillo y  a pas dé rendrès sans canilho

(A la sainte Pétronille, il n'y a pas de haie sans chenilles)

 

Al mes de maï, la carrou fa pas dé tout la barou

(Au mois de mai, la chaleur ne fait pas toute la valeur)

 

Maï qué bessé, jun qué cessé

(Qu'en mai il pleuve, et qu'en juin ça cesse)

27 avril 2013

proverbes du tarn

MOIS D'AVRIL

Derniers jours d'avril,  donc voici  deux proverbes concernant ce mois de printemps

 

"Pasquas bagnados, blat à carrados

(Pâques mouillées, blé à charretées)

 

"Flou d'abrial ten qu'a un fial"

(fleur d'avril ne tient qu'à un fil)

 

 

17 mars 2013

le calendrier de la météo MARS

Pour parfaire les connaissances sur mon département : le Tarn  et ma région du sud ouest, voici quelques  proverbes recueillis  par Henry Mas et Robert Pistre, retranscrits dans le "patoues"du pays, ce qui leur  donne toute leur saveur. Ces proverbes riches de bon sens  de ceux qui observaient au quotidien les phénomènes météorologiques , ils continuent, n'en déplaise aux messieurs dames météo de la télévision , A FAIRE LEURS PREUVES


Chaque mois aura  donc sa rubrique . Désolée , je commence au mois de mars ......

 

MARS

" La plesto de mars bal pas la pisso d'al raïnart"

(la pluie de mars ne vaut pas plus que le pipi du renard)

 

Petite inquiétude le 19 MARS s'il fait beau

 
"Caout dé la Sant -Tsoupep, l'estio séra bref"

(Chaleur de la Saint-Joseph, l'été sera bref)

 

 

 

 

 

 

20 décembre 2012

Cathédrale Sainte Cécile à Albi

Peinture faite par un ami de mon mari, un véritable artiste Francis.

Couleurs chatoyantes pour  ce beau monument Albigeois.

 

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Cette rue du Viel Albi est souvent retrouvée sur des cartes postales anciennes.

20 octobre 2012

une météo vraiment bizarre

pas de cuisine pour le moment,  je ne sais plus :  cuisine d'été ou cuisine d'automne ?...

à 13 heures, sur ma fenêtre côté nord le thermomètre affiche 21°, le soleil brille , le vent d'autan souffle encore,    mais  ausi bien  côté est que  côté ouest, de gros nuages, la pluie va-t-elle enfin arriver, tout est vraiment  très sec, ici,  dans le périmètre d'Albi.

alors vais-je pencher pour salade ou plat mijoté ? de toute façon j'ai une grande flegme, donc ce sera certainement pour le plus simple....

 

8 septembre 2012

restaurant "les berges d'alby"

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En bordure immédiate de la rivière tarn, un petit restau bien sympa, d'allure bucolique avec la  pelouse, les fleurs,  les arbres... à l'abri des bruits de la ville, de la circulation, bercé par le clapotis de l'eau.et où l'on y mange bien  , miam miam pour les profiteroles par exemple, parole de gourmande..... (avec un clin d'oeil à jéjé ainsi qu'à toute son équipe).

Très bientôt fermeture annuelle, les locaux ne permettent pas d'accueillir  en dehors de la saison estivale, et c'est bien dommage. Les gros appétits y trouvent en général leur compte... A l'année prochaine peut être....

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